Pingyao : rescapée du capitalisme sauvage

La Chine a été pour moi une vraie découverte et c’est le pays avec lequel j’ai été le plus déphasée par rapport à mon imaginaire. A chaque étape, je suis surprise de ce que je découvre : villes gigantesques, modernes et impersonnelles empreintes, parfois d'histoire.
Entre les différentes dynasties, la révolution culturelle de Mao des années 60 et le capitalisme sauvage des années 90, il ne reste plus grand-chose de la Chine ancienne.
Pingyao est la ville ancienne chinoise par excellence, que l’on peut s’imaginer : par sa taille (20.000 habitants), son architecture (XVème siècle), son chauffage au charbon, ses rues piétonnes et pavées, bref rien n’a changé depuis 150 ans !
Coté cuisine, la cuisine chinoise c’est juste un peu trop gras et on ne sait pas toujours ce que l’on mange. On espère avoir évité le chien, le concombre de mer, les sauterelles, les chenilles et autres couilles de mouton.
Avons profité de ce break à la campagne, avant Pékin, la capitale. A la prochaine. Sandrine

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