Maupiti, le paradis

Bonjour à toutes et à tous, je sais que votre préoccupation principale de ce week-end est le vote pour l’élection présidentielle….à suivre de loin de très loin pour nous puisque depuis le début de l’année peu de relais et peu d’échos de cette élection dans les pays que nous traversons. Nous devons aller à la pèche aux infos tant cela reste un sujet presque franco français à l’heure de la mondialisation et qu’apparemment la campagne n’a pas soulevé les foules en France…Les statistiques nous le diront demain matin pour nous et demain soir pour vous…Affaire à suivre pour le second tour.

Bref, nous nous sommes quittés en NZ, et depuis nous sommes arrivés en Polynésie française. Nous sommes donc arrivés le 18 avril et avons gagné un jour par rapport à vous (en France), nous sommes donc maintenant en décalés mais avant vous… Bref nous sommes toujours en décalage, mais cette fois-ci de 12 heures en moins…Nous sommes arrivés à Papeete, par plus de 30° et un beau ciel bleu….Papeete ville peut être magique pour nous français de métropole, mais quelle déception…on y reste 1 journée le temps du transfert et tant mieux. Contrairement à ce que nous vivons depuis notre départ où les pays ont une gestion de l’arrivant étranger « optimum », ici tout est fait pour le décourager, voir le faire fuir et c’est ce qui se passe depuis 2007 d’après les différentes discussions que nous avons eues en local…bref les dom-tom, c’est pas gagné. A Papeete, juste une église, un marché (pas trop mal si l'on ne tient pas compte des marchés d'ASIE), un dîner aux roulottes...

Revenons à nos moutons ou plutôt tdm de la famille israel…Notre choix en PF se porte sur 3 îles sur plus de 120…Maupiti, Bora Bora et enfin Mooréa. Je vous écris donc du petit paradis de Maupiti où nous passons quelques jours avant de partir pour Bora Bora. Ici c’est le paradis. Nous passons nos journées dans l’eau à regarder les poissons, à faire du canoë et/ou du kayak, du vélo, à nager avec les poissons….tout le monde profite de ce moment exceptionnel où nous sommes à peu prés surs de ne pas y retourner compte tenu de la distance….c’est magique et idyllique et c’est de là que nous découvrirons notre prochain président de la république. Cette île est complètement sauvage et c’est un des rares sites que nous trouvons à peu près « vierge » depuis la Birmanie ou encore la NZ. Affaire à suivre. Sandrine Maupiti